Vitrerie de la Vallée, usine agrandie, projet, BBL Construction

Vitrerie de la Vallée double la superficie de son usine

Une usine à la fine pointe de la technologie avec de nouveaux équipements. Davantage de bureaux. De grands espaces de travail. BBL Construction a débuté les travaux de la nouvelle usine de Vitrerie de la Vallée afin d’augmenter leur production, leurs capacités de stockage et leur capacité de répondre à une demande croissante où les délais sont toujours plus courts. L’entreprise familiale y déménagera au printemps 2022.

Fondée par Guylain Courville, Vitrerie de la Vallée a vu le jour en 1994. L’entreprise se spécialise dans la fabrication et l’installation de produits du verre au niveau résidentiel, commercial et industriel.

« Notre marque de commerce est le service à la clientèle », explique Marie-Josée Frenette, directrice des services administratifs et des ressources humaines. Pour continuer de fournir ce service à la clientèle personnalisé et efficace, la nouvelle bâtisse prévoit de doubler la superficie des locaux, ce qui permettra d’accroître le nombre de projets d’envergure. »

La nouvelle usine couvrira 30 000 PC. Si l’ancienne se distingue par sa construction originale et inclinée tout en fenêtres, la nouvelle repousse encore plus les limites de l’impression sur verre en faisant appel à la sérigraphie.

« Chaque fenêtre aura son propre design, décrit Frédéric Courville, directeur des projets commerciaux. Notre graphiste travaille sur un design unique qui sera projeté sur plusieurs pans de murs. Il y a un seul fournisseur en impression numérique au Québec, alors le verre extérieur sera encore plus novateur. »

Une nouvelle construction, à l'image de la vision d'entreprise

Vitrerie de la Vallée planche sur la relève de l’entreprise familiale, afin d’intégrer les idées des jeunes. Le virage numérique et environnemental fait partie de la planification stratégique à long terme.

« L’innovation est au cœur de nos préoccupations pour les prochaines années, souligne Mme Frenette. Notre future construction comprend un verre isolant de qualité supérieure et des matériaux durables, à l’image de notre souci de l’environnement. Nous utilisons plusieurs véhicules électriques et nous prévoyons de convertir entièrement la flotte. Nous numériserons tous nos dossiers et nous maximiserons les outils électroniques sur les chantiers ainsi que dans l’atelier. Nous analysons les options pour recycler le verre, mais les options sont limitées au Canada sur ce plan pour le moment ».

Une collaboration de longue date avec BBL

Vitrerie de la Vallée travaille avec BBL construction depuis plusieurs années. « Nous sommes des sous-traitants pour de nombreux projets de BBL, résume Mme Frenette. Nous avons notamment réalisé la fenestration du Quai de la Fantaisie, de Cuisi-N-Art et de Vision industrielle. Nous apprécions notre collaboration, car l’équipe veille à respecter les délais, elle est efficace et prévoit les coups. » M. Courville renchérit : « L’équipe est organisée, disponible et professionnelle, on sait toujours à quoi s’attendre. On s’appelle souvent, on n’est jamais en attente de suivis. On leur fait confiance! »

Que réserve l'avenir?

La construction de la nouvelle usine va bon train. Les empattements de fondation sont faits et BBL construction travaille sur les murs de la fondation. Le déménagement est prévu au printemps 2022.

Entre-temps, les projets cumulent. « Nous avons demandé un permis de garderie et nous sommes à l’étape de l’évaluation, raconte Mme Frenette. Cette garderie permettra de prendre soin de nos employés, en favorisant un meilleur équilibre entre le travail et la famille. Nous sommes chanceux, nous pouvons compter sur une équipe dévouée et loyale. Comme plusieurs employés seront retraités d’ici quelques années, nous avons un grand besoin de main-d’œuvre qualifiée. La formation est aussi un grand défi, y compris les mises à jour afin de respecter les différentes réglementations. »


Sabrina Boucher Équipe

Sabrina Boucher, chargée de projet senior

Sabrina Boucher est chargée de projet chez BBL depuis 2012. Elle fait maintenant partie des plus anciens de l’équipe. Après un DEC en design en 2012, elle a appuyé l’équipe de BBL Construction pendant l’été. Et l’emploi d’été est finalement devenu une carrière!

Une meneuse née!

Dès son jeune âge, Sabrina s’est différenciée par son leadership, son organisation mais surtout son souci du détail. Tête de cochon, elle savait ce qu’elle voulait et tout le monde savait qu’elle irait loin dans tout ce qu’elle entreprendrait.

Engagée dans tout ce qu’elle fait, elle a suivi des études avec concentrations sans compter ses soirées sur les terrains de soccer. Elle a fait voyager sa famille dans ses nombreux tournois et entrainements. Elle a poursuivi son sport favori jusqu’à ses 18 ans, qu’elle a dû malheureusement arrêter à la suite d’une blessure. Elle s’est étonnée de recommencer à jouer en 2017 et elle compte bien continuer pour plusieurs années encore.

Son cheminement

Sa facilité impressionnante de travailler avec les chiffres l’ont dirigée vers des études en comptabilité à la sortie de son secondaire. Elle a malheureusement manqué de défis et elle a redirigé sa carrière en design intérieur.

Elle a débuté son DEC en 2009 en design intérieur et elle a travaillé jours et nuits pour obtenir son diplôme en 2012 dans ce programme au Cégep de l’Outaouais.

Le côté artiste de Sabrina ressort dans ses projets. Dans le choix de matériaux et la conception des plans, ses connaissances en design donnent une valeur ajoutée à tous les projets de BBL Construction.

Portfolio

Elle a touché à plusieurs projets, pensons à Vision industrielle à Gatineau, un commerce nouvellement établi dans l’aéroparc, construit à une vitesse fulgurante. La station-service Sonic, établi à Gatineau, secteur Buckingham. Le Promutuel, un bureau d’assurance qui a vu le jour en 2016. Hyundai Buckingham un concessionnaire automobile à la nouvelle image corporative. Une partie d’un projet comportant 5 bâtiments sur le chemin industriel, dont l’aménagement impressionnant d’une usine de fabrication d’huile d’olives. Elle a aussi dirigé plusieurs projets résidentiels haut de gamme.

« Hyundai a été mon plus grand défi, à hauteur de sept millions de dollars. C’était un beau projet, car il fallait travailler avec les normes spécifiques du manufacturier. Le choix de matériaux, l’emplacement des vendeurs, les types de chaises, tout est normalisé dans un document afin de ne rien oublier. J’ai aussi beaucoup appris sur l’équipement de garage : Il faut réussir à se mettre dans la peau d’un mécanicien, d’un vendeur, d’un directeur pour ne rien oublier. Le plus complexe est le mécanicien, comprendre toutes les machines et leurs utilités pour ne rien manquer. Ces particularités font que chaque projet est différent. Il n’y a pas de routine. On apprend tellement d’un projet à l’autre, c’est très valorisant. »

En tant que chargée de projets senior, Sabrina gère maintenant les projets de A à Z. Elle chérit beaucoup cette autonomie. Elle utilise son indépendance pour gérer les professionnels, les sous-traitants et même la clientèle d’elle-même.

Une belle équipe tissée serrée

Au bureau, elle travaille étroitement avec plusieurs collègues selon l’étape de la construction. « Nous nous soutenons tout le temps. On est plusieurs à diner souvent ensemble, on se raconte nos péripéties, on est très proches. Le fait que nous soyons une petite équipe nous permet de créer des liens forts. D’ailleurs, je considère maintenant Marie-Pier comme une amie très proche avec qui j’apprécie passer du temps même à l’extérieur du bureau. »

« Sabrina a un grand souci du détail et un sens de l’organisation légendaire. Sa formation en design pousse l’esthétique de nos projets à un autre niveau. » Nadia Boucher, vice-présidente.

« Sabrina est une conteuse née! Elle a sa manière unique de raconter ses histoires, elle me fait beaucoup rire. On partage les mêmes valeurs, la famille est une priorité pour elle. Elle est très organisée et fonceuse. Ça fait déjà 9 ans qu’on travaille ensemble, que nous sommes voisines de bureau. Je suis choyée de pouvoir la compter parmi mes amies. Elle a aussi un grand souci du détail qui est très apprécié de nos clients. » – Marie Pier Lanthier, chargée de projet.

Une carrière chez BBL

Avec ses années accumulées, Sabrina convoite un poste de gestionnaire de projets. Elle aimerait être en mesure de partager son expérience et de transmettre ses connaissances à ceux qui débutent dans le métier.

Sabrina n’avance jamais en regardant seulement son prochain pas, elle avance en regardant le paysage complet. Elle s’imagine donc déjà monter les échelons de l’entreprise et développer des compétences en ressources humaines.

Future mariée!

Après la grande demande en 2017, Sabrina et son conjoint prévoyaient un mariage en 2020, mais la pandémie en a décidé autrement en lui retardant son projet. On lui souhaite qu’il se concrétise sous peu! En attendant, elle continue d’ajouté à sa liste de projets. Elle partage plusieurs loisirs communs avec son conjoint, tels que la motoneige, le côte à côte et le camping. Été comme hiver, leur calendrier est bien chargé.


Groupe Gestion Chelsea, La Trappe à fromage, Polo Vélo, Projet, BBL Construction.

Le Groupe Gestion Vallée dévoile son nouveau projet au cœur de Chelsea

La Trappe à fromage et Polo Vélo ouvriront leurs portes à l’hiver 2022.

De gauche à droite: Gilles Joanisse de la Trappe à fromage, Michel André de Gestion Vallée, Claude Bélec de Gestion Vallée, Sébastien Boudreau de Polo Vélo et Alex Joanisse de la Trappe à fromage

Le Groupe immobilier Gestion Vallée, qui œuvre en gestion immobilière et développement, est fier de dévoiler son nouveau projet au cœur de Chelsea. Situé au plus haut point du centre de Chelsea, ce projet commercial et résidentiel deviendra certes un point de repère et un lieu de rassemblement pour les résidents, touristes et villégiateurs de la grande région de l’Outaouais. La construction de grande envergure de 19 000 pieds carrés sur deux étages débutant dans quelques jours comprendra des locaux commerciaux, ainsi que des condominiums résidentiels de luxe à l’étage.

« L’ouverture du complexe se fera au cours de l’hiver 2022, annonce le président Claude Bélec. Nous accueillerons entres autres la Trappe à fromage et Polo vélo. Nous tenons à remercier les partenaires de ce projet : BBL, A4, Sagenex, LCA, BDC, PME internotaire et RCGT. Il s’agit d’une première collaboration avec BBL construction qui s’avère fructueuse. »

Au cœur de Chelsea, le projet fera belle figure, avec ses grandes terrasses, le design des suites résidentielles haut de gamme et l’aménagement intérieur contemporain. Une station de réparation de vélo et des supports à vélo se trouveront à l’extérieur, tout près de Polo Vélo. De grandes fenestrations, du revêtement en bois et des bornes rechargeables pour autos électriques complèteront la facture visuelle.

Fiche du projet :

193 ch. Old Chelsea

19 000 PC sur 2 étages

4 logements résidentiel et 6 locaux commerciaux


Nathalie Charette Équipe

L'Académie C-Fame, l'expertise pour atteindre nos objectifs de croissance

BBL a demandé l’expertise de l’Académie C-FAME pour investir dans son équipe. Nathalie Charette, coach, formatrice et experte en gestion des ressources humaines, et son équipe, accompagnent les dirigeants et les employés à propulser leurs compétences dans l’optique d’amener l’entreprise à un niveau supérieur.

Depuis plusieurs années, l’Académie C-FAME accompagne les entreprises pour améliorer les relations de travail, coacher les employés et développer la gestion des ressources humaines.

« Notre rôle est d’aider BBL à atteindre ses objectifs de croissance, souligne Mme Charette. Nous réalisons pour l’entreprise des sondages de satisfaction et de mieux-être en milieu de travail, des entrevues avec leurs employés, des focus groups, des tests psychométriques, du coaching, des formations pour les gestionnaires et de la restructuration opérationnelle, organisationnelle et RH. Tout cela afin d’optimiser les processus, le fonctionnement interne, la communication et la synergie d’équipe pour répondre aux normes vigoureuses, mais surtout aux besoins des employés présents et futurs. »

« BBL a un enjeu de pénurie de main d’œuvre, comme plusieurs entreprises, explique Nadia Boucher, Vice-présidente de l’entreprise. Le mandat de l’Académie C-FAME est de permettre de gérer la croissance de l’entreprise, d’attirer des talents, offrir aux employés un environnement de travail enrichissant, de veiller aux bonnes relations de travail ainsi que de développer les compétences de tous les employés pour que l’entreprise demeure compétitive, voire excelle en la matière afin d’attirer de nouvelles ressources. »

Des employés satisfaits

« C’est en se regardant le nombril qu’on peut s’accomplir et innover, dit Marie-Pier Lanthier, chargée de projet. Nous nous améliorons sur le plan professionnel et personnel, grâce aux questions d’auto-analyse de la coach. Nous avons toutes des personnalités et des opinions différentes, alors nous apprenons à connaitre comment nous sommes et comment interagir avec ceux qui sont différents de nous. Nos rencontres améliorent le travail d’équipe et l’ambiance au boulot. »

« C’est le fun de voir l’intérêt de l’entreprise à s’améliorer, s’enthousiasme Sébastien Labbé, dessinateur. L’une des facettes sur laquelle on travaille, est de mieux cerner les limites du travail des employés. Selon les projets, on ne sait pas toujours quand notre travail se commence et se termine. Nathalie et Chantal nous aident à clarifier nos rôles. »

« Nos rencontres avec l’Académie permettent de rapidement mettre en lumière les petits bobos qu’on avait, explique Sylvain Bertrand, Président. On a déjà implanté de petits changements qui donnent de gros résultats. Les employés sourient, se prennent en main. Nadia et moi communiquons mieux, nos efforts sont mieux orientés, au bénéfice de la vision de notre entreprise. Nous réaliserons bientôt la mise à jour de notre planification stratégique avec toute l’équipe. C’est excellent pour tisser des liens à l’extérieur du bureau. »


Kim Lacelle Équipe

De la mode à la comptabilité

Kim travaille chez BBL depuis 2020. Après un saut à Montréal dans le domaine de la mode, elle est revenue en Outaouais pour être plus près de sa famille. Maintenant, elle s’épanouit en comptabilité avec de nouveaux défis chaque jour.

À quoi ressemble ton parcours professionnel? 

J’ai un parcours plutôt atypique. J’ai étudié en design de mode en 2008 à l’Académie de Haute Couture Richard Robinson à Ottawa. À l’obtention de mon diplôme, je suis déménagée à Montréal pendant dix ans. J’ai baigné dans l’univers du spectacle entre autres en travaillant pour le Cirque du Soleil, le Washington Ballet, le Boston Ballet, le Cirque Éloize, différents chorégraphes et plusieurs autres projets adjacents. Au cours des cinq dernières années, j’ai eu l’opportunité de travailler pour la designer Québécoise de renom, Marie Saint-Pierre en tant que première main d’atelier.

Il est plutôt rare de voir quelqu’un occuper ce type de poste à un si jeune âge; dans les grandes maisons de luxe parisienne il faut avoir au moins 30 ans d’expérience! Je m’occupais en majeure partie de donner vie aux collections en supervisant une équipe de développement. Mon rôle consistait à comprendre la nature d’une inspiration et de lui donner vie à partir de rien, que ce soit à partir d’une image, une couleur, une matière…Il faut être très à l’aise avec toutes les matières inimaginables et être apte à créer, savoir lire et modifier les patrons en modelage. Les semaines de 70 heures étaient monnaie courante, il fallait avoir une grande capacité d’adaptation puisque le rythme était très rapide. Ma mission était de garder mon équipe hors de l’eau lorsque la pression et la fatigue étaient au maximum. Nous devions bien souvent reprendre des créations partiellement ou en entier à la dernière minute pendant que des acheteurs internationaux patientaient, calmement café à la main, dans la pièce d’à côté.

Nous avions en moyenne 7 à 8 collections d’environ 100 pièces à pondre annuellement toujours un an d’avance, sans compter les collaborations récurrentes entre autres avec les Hôtels Germain, L’Orchestre Métropolitain, Le galas Artis, Les Gémeaux et les créations sur mesure à travers l’Amérique.

En janvier 2020, mon conjoint et moi avons pris la décision de revenir en Outaouais plus près de nos familles. Nous sommes revenus en région pour reprendre un rythme différent plus près de la nature et du « il-n’y-a-aucun-trafic-ici »! Nous avons bien choisi notre momentum, puisque deux mois plus tard la pandémie arrivait.

Je berce l’idée d’avoir mon atelier depuis longtemps et d’y faire plein de projets ! Le côté cérébral que m’apporte la comptabilité me permet d’avoir une nouvelle liberté créative et d’avoir de nouveaux défis chaque jour. Je me réveille parfois la nuit pour écrire un bout d’idée sur un morceau de papier. Mes amis me font souvent la remarque que je n’aurai pas assez d’une vie pour réaliser tout ce que je voudrais y accomplir.

Quelle est ta plus grande fierté? 

Être indépendante et autodidacte, il est à préciser que personne ne savait coudre dans mon cocon familial. Depuis, mon père s’améliore! Je suis déménagée à Montréal seule avec presque rien, ayant décroché des emplois à la hauteur de mes ambitions me rend vraiment fière. Je suis contente d’avoir pu aider des jeunes entreprises en démarrage avec mes connaissances et d’avoir eu un impact positif dans le milieu artistique Canadien. Mon portrait fut affiché au Musée des Beaux-Arts de Montréal pour l’exposition Montréal Couture pour souligner ma contribution au savoir-faire technique du Prêt-à-Porter en plus d’avoir participé à de nombreux documentaires sur l’industrie. J’en garde de très bons souvenirs.

Quels sont tes défis au boulot? 

J’ai dû me familiariser avec le milieu de la construction et les nombreux enjeux et défis quotidiens. C’est vraiment stimulant de voir tous les nouveaux développements! Bien que la matière brute utilisée soit différente, le plan prend forme à partir d’une idée jusqu’au produit fini. C’est très semblable au processus de confection. Je suis fière de faire partie de l’équipe BBL, qui est, selon moi, le joueur avec l’expansion la plus rapide dans l’industrie en Outaouais.

As-tu un engagement dans la communauté? 

Avant de déménager à la fin de mes études, j’ai eu l’opportunité de créer une petite ligne de vêtements afin de participer à la levée de fond pour le cancer du sein de la fondation Les rêves de Monique, bien connue ici en Outaouais. Depuis mon retour, je n’ai pas eu l’occasion d’en avoir dû à la pandémie, hormis de participer à des campagnes de financement auprès de Moisson Outaouais ou des enfants.

Quels sont tes projets d'avenir? 

J’en ai trop! Sur le plan professionnel, je veuxcontinuer à m’épanouir en symbiose avec mon côté créatif. Comme on dit : Il y a toujours un avenir pour ceux qui pensent à l’avenir !

« Kim est tellement souriante et de bonne humeur. Chaque matin, elle dit bonjour à tout le monde. » - Sarah Bertrand, chargée de projet junior

« Kim est un vrai rayon de soleil! Son positivisme et son sourire sont un éternel réconfort. C’est un plaisir de travailler avec elle. » - Isabelle Massie, estimatrice

« Kim est très travaillante et apporte beaucoup de soleil à l’équipe. Passionnées toutes les deux de séries télévisées, on attend avec impatience le lendemain pour se parler des nouveautés. Son parcours éclectique, son cheminement dans le domaine de la mode et ses contacts du côté des artistes me font envier. » Sabrina Boucher, chargée de projet senior


Destination Vanier, Construction Chabitat, BBL Construction, projet

L’accompagnement qui fait toute la différence

L’histoire commence il y a quelques années. Forte de son expérience d’avoir construit plus de 2 000 maisons pendant 30 ans en Outaouais, Construction Chabitat acquiert un terrain dans le secteur du Plateau à Gatineau. À ce moment, l’entreprise familiale n’a pas de plan précis pour sa nouvelle acquisition.

Sylvain Bertrand, président de BBL, approche donc la famille Charette pour les encourager à faire un développement commercial. La graine était plantée.

Trois ans plus tard, Construction Chabitat cesse de construire et ses membres envisagent une retraite bien méritée. Mais la proposition de Monsieur Bertrand continue à faire son chemin dans l’esprit des messieurs et dame Charette et finalement commence leur plus gros, leur premier et dernier projet commercial : Destination Vanier.

D’une valeur de plusieurs centaines de millions de dollars, le projet comportera deux phases commerciales pour plus de 100 000 pieds carrés de surface avec des locataires de qualité AAA et 3 phases zonées résidentielles haute densité qui pourraient recevoir des tours de 12 étages dans les trois prochaines années. Les bannières confirmées pour le moment sont Dollarama, Easy financière, Cellumax, Shopsanté, la Clinique d'évaluation neuropsychologique de l'Outaouais (CENO), le Dentiste du Plateau et Marty Waite.

« Ce projet d’envergure n’aurait probablement pas vu le jour sans BBL Construction, affirme Mme Charette. Le partenariat avec l’équipe BBL a contribué à tirer le projet en avant et vers le haut. Les résultats sont au-dessus de nos attentes! »

Il s’agit de leur première expérience en commercial, alors l’équipe avait besoin d’être bien accompagnée. « Les gens de BBL nous ont offert un projet clé en main. Mais ce que nous recevons est plus que ça. Sur ce projet, nous avons l’impression de former une famille avec BBL, la communication est fréquente, fluide et sans surprise. Le professionnalisme, l’honnêteté et la personnalité de Monsieur Bertrand complètent bien notre équipe. Il est du genre à toujours vouloir plus et mieux et ça lui réussit bien. Fait important : il n’hésite pas à partager son savoir et à donner un coup de main dans la mesure du possible. Il est toujours là, toujours disponible. »

Beaucoup de défis

La pandémie a apporté son lot de défis afin de livrer dans les meilleurs délais possibles. Pensons aux coûts exorbitants et à la rareté des matériaux. « Nous avons investi une grande partie de nos acquis dans Destination Vanier, mais grâce à la structure et à la débrouillardise de l’équipe BBL même la pandémie ne nous a pas empêché de dormir, nous avions une équipe de confiance qui veillait au meilleur de nos intérêts et nous le savions. »

Selon Mme Charette, Sylvain a toujours un Plan B dans ses poches. « Il y a eu beaucoup de combats à livrer avec la Ville, et c’est avec brio que Monsieur Bertrand a mené les négociations et nous l’en remercions. Pour se lancer dans un projet d’une telle   envergure, il faut avoir évidemment un certain capital, mais ça prend surtout du cran et un brin de folie pour survivre dans le milieu de la construction; mais le jeu en vaut la chandelle », résume Mme Charette.

C’est souvent une grosse montagne à gravir que de passer à travers les étapes des plans, de la Ville, de Gazifère, les infrastructures… il y a beaucoup d’argent investit avant même la première pelletée de terre. Mais que de fierté autant pour l’investisseur que pour le bâtisseur.

Le mot de la fin de Madame Charette : « Merci à l’équipe de BBL de nous permettre de faire de ce rêve une réalité et un projet qui, au final, sera des plus extraordinaire. »